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    Ce vendredi 17 septembre à 20 H


    Cours PPA 1ere partie en salle annexe du Club House du CAM.


    Interesse les 3* désireux d'obtenir le brevet de spécialisation Plongee Profonde à l'Air

    mais est ouvert à tous.


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  • Une vidéo des Gilles de Binche -->   ICI


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  • Une belle épave par -48 mètres de fond en deux parties.

    Temps limité de la plongée à 16 minutes sur le fond, juste assez pour faire ses paliers.

    C'est un matin tôt sur une mer d'huile et déjà un beau soleil sans nuages que nous allons sur l'épave du Grec à +/- 35 minutes de bateau du port.

    Elle est au large de l'île de Porquerolles au sud-est cette fois -ci. Le cargo repose sur -48 mètres.

    On commence la plongée par la partie la plus profonde qui est ici l'hélice avec photo de ce joyau et de sa diversité de flore.

    On devine dessous les coquillages et plantes, la forme d'une des 3 palmes de l'hélice, puis rencontre d'une mostelle, remontée le long de la cale

    et puis dans les cales avant de se promener dans les coursives,

    avec une belle richesse de flore et de nombreux poissons.

    Des photos on été prises volontairement de l'intérieur vers le large pour donner un aspect majestueux au site.

    C'est une des deux belles épaves du site.

    Pause de retour sur le bateau de subplongée de Giens : on appercoit le sigle du C.A.M sur le mur du bateau, une vidéo du Grec est aussi réalisée; La profondeur et le choix de la direction "la coque sud ouest" nous ont mis à l'ombre -dommage- en partant des -48 mètres du sable, remontée le long de la coque du bateau par l'ouest du bateau en opposition au soleil de cette matinée; On y découvre un véritable mur de gorgones de toutes les couleurs avec au passage un  appercu du pont et des coursives du bateau et une faune en pagaille autour de nous : sars, barbiers, cocquettes, dorades et quelques girelles en nombre iminaginaire.

    Reportage, photos et vidéo: Phil De Korte


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  • En attendant l'article de Phil De Korte, voici deux vidéos  :

     

     

    Et  celle avec la méduse Aurélie :

     

     


    Un petit peu de biologie :

    Les méduses appartiennent au groupe des cnidaires qui rassemble les animaux dont la bouche est entourée de tentacules urticants, comme les coraux ou les anémones de mer. Ce pouvoir urticant est dû à des cellules qui, au moindre frôlement, s’ouvrent en libérant leur contenu : un harpon qui égratigne la peau de la victime et un venin inoculé grâce à un filament.

    La reproduction des méduses s'effectue en deux phases successives. L'une est sexuée et fait donc intervenir des spermatozoïdes et des ovules. La rencontre des deux donne un œuf, puis une larve munie de cils. Celle-ci mènera une vie libre en pleine eau avant de se fixer.

    L'autre phase est asexuée. Elle débute lorsque la larve se fixe pour se développer en polype, sorte de petite anémone de quelques millimètres. Celui-ci peut se diviser pour donner naissance à un nouveau polype ou se segmenter pour se transformer en strobile, sorte d' « empilement d’assiettes » qui, à maturité, libère de minuscules méduses.

    Les méduses se nourrissent de plancton qu’elles capturent grâce à leurs tentacules urticants.
     

    Méduse aurélie

    Aurelia aurita

    Groupe : Cnidaires, Scyphozoaires

    Aire de répartition :

    Cette espèce cosmopolite prospère sur les littoraux rocheux du monde entier. L’aurélie se rencontre le long des côtes dans les eaux peu profondes. Elle supporte facilement de grands écarts de température, de salinité et de lumière et se rencontre parfois dans les estuaires de certains fleuves européens.

    Taille :

    La méduse aurélie peut atteindre 40 cm de diamètre.
     
    Cette méduse caractéristique est dotée d'un corps circulaire, en forme de coupe. Son endoderme est blanc et transparent, et son ectoderme, transparent lui aussi, est souvent légèrement bleuté ou rosâtre.
    Son ombrelle est entourée de centaines de longs et fins tentacules blancs filamenteux et urticants, qui capturent et paralysent le petit zooplancton dont elle se nourrit, pour le porter jusqu'à sa bouche.
    De nombreuses nervures blanches sont visibles sur son endoderme, partant du centre jusqu'au bord de l'ombrelle. On distingue facilement les quatre gonades en fer à cheval, roses ou blanches, disposées symétriquement autour du centre de l'endoderme.
    Elle possède aussi quatre tentacules buccaux translucides, entourant le manubrium, et souvent rangés sous l'ombrelle.
    Elle nage en contractant son corps par ondulations régulières.
    Chez les mâles, les gonades sont blanches ou jaunes, mais chez les femelles, elles sont roses ou violettes.

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  • Ce dimanche matin, 23 mai 2010, Pierre et moi sommes allés faire un tour à BARGES pour saluer nos collègues du CAM COMINES.

    Sous la houlette de Marc, un briefing adapté met les palanquées en ordre de "marche".

    Pierre et Marc encadrent leur exercice ; pour ma part, je m'occupe de la 3eme plongée de Tanguy, un p'tit gars bien prometteur, à l'écoute, respectueux des consignes données.

    Aucun problème en plongée, une bonne flottabilité avec la cerise sur le gateau, une eau limpide comme c'est le cas depuis 3 semaines à Barges, l'occasion de voir un beau brochet (juste à gauche de BARGES 1), une belle carpe et des écrevisses de bonne taille.

    La sortie de l'eau s'est réalisée sans problème avec le largage des plombs après 20 m au tuba tel que prévu dans le protocole de la 3eme plongée.

    Un beau dimanche matin ou les gars de Comines nous ont accueilli avec plaisir, à refaire !


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